From 2b5e1f66f0ceb8b00e1c29dc9e3cb18ce3554bbd Mon Sep 17 00:00:00 2001 From: Andres Rey Date: Thu, 8 Dec 2016 15:44:37 +0000 Subject: Refactored readability.js expected files to match readability.php style --- test/test-pages/lemonde-1/expected.html | 5 +---- 1 file changed, 1 insertion(+), 4 deletions(-) (limited to 'test/test-pages/lemonde-1') diff --git a/test/test-pages/lemonde-1/expected.html b/test/test-pages/lemonde-1/expected.html index ebad7bf..6dcaf7d 100644 --- a/test/test-pages/lemonde-1/expected.html +++ b/test/test-pages/lemonde-1/expected.html @@ -1,4 +1,3 @@ -

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La durée de conservation des données collectées – et l’adaptation de cette durée à la technique employée – a par ailleurs été inscrite dans la loi, contrairement au projet initial du gouvernement qui entendait fixer ces limites par décret. Elle pourra aller jusqu’à cinq ans dans le cas des données de connexion.

Un dispositif pour les lanceurs d’alerte

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La loi prévoit également une forme de protection pour les agents qui seraient témoins de surveillance illégale. Ces lanceurs d’alerte pourraient solliciter la CNCTR, voire le premier ministre, et leur fournir toutes les pièces utiles. La CNCTR pourra ensuite aviser le procureur de la République et solliciter la Commission consultative du secret de la défense nationale afin que cette dernière « donne au premier ministre son avis sur la possibilité de déclassifier tout ou partie de ces éléments ». Aucune mesure de rétorsion ne pourra viser l’agent qui aurait dénoncé des actes potentiellement illégaux.

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La loi prévoit également une forme de protection pour les agents qui seraient témoins de surveillance illégale. Ces lanceurs d’alerte pourraient solliciter la CNCTR, voire le premier ministre, et leur fournir toutes les pièces utiles. La CNCTR pourra ensuite aviser le procureur de la République et solliciter la Commission consultative du secret de la défense nationale afin que cette dernière « donne au premier ministre son avis sur la possibilité de déclassifier tout ou partie de ces éléments ». Aucune mesure de rétorsion ne pourra viser l’agent qui aurait dénoncé des actes potentiellement illégaux.

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